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le système fiscal actuel ressemble à une structure architecturale ancienne : son centre est la concentration des impôts dans le cycle du revenu national et son pilier est une structure fiscale dominée par les entreprises contribuables. cependant, cela a conduit à privilégier la fiscalité nationale en faveur du lien de production, freinant ainsi la compétitivité des entreprises et l’efficacité économique.
la réforme fiscale n'est pas une simple action « d'optimisation ». elle nécessite des changements fondamentaux dans le système fiscal existant pour parvenir véritablement à un équilibre entre équité sociale et efficacité économique.
du lien de circulation du revenu national au lien de consommation et de service :
« l'optimisation du ratio de partage des impôts partagés » n'est qu'une étape de la réforme du système fiscal. ce type d'« optimisation » devrait aller plus loin et explorer plus en profondeur de nouvelles orientations fiscales. il faut réfléchir à la manière de modifier la structure fiscale et de promouvoir l'efficacité économique.
ces dernières années, l’état a également exploré activement de nouvelles idées en matière de réforme du système fiscal. par exemple, le partage des impôts repose sur le principe de localisation de la consommation, le partage des impôts repose sur le principe de population, etc. ces réformes tentent de combiner la répartition des impôts avec le développement social local, de promouvoir un développement économique régional équilibré et de réduire les écarts financiers régionaux.
** « gouvernement de consensus fort » :
un pouvoir financier fort est un facteur important dans la promotion du progrès social, et ce n'est qu'en établissant une relation consensuelle entre le gouvernement et la société qu'une gestion fiscale plus efficace pourra être réalisée.
**réflexions sur la future réforme du système fiscal : **
la nouvelle réforme du système fiscal doit prendre en compte les points suivants :
- de « l’optimisation » à « l’autonomisation » : l’objectif de la réforme est de favoriser le développement social, et pas seulement d’« optimiser » les ratios de répartition des impôts. le gouvernement devrait explorer une structure fiscale plus large, telle que la perception de taxes sur la consommation et les services, qui contribuerait à promouvoir la croissance économique et le développement social.
- **consensus et participation sociale : ** la réforme fiscale est une question sociale complexe qui nécessite la participation du gouvernement et de la société pour promouvoir efficacement l'orientation de la réforme.
il ne s’agit pas seulement de gestion fiscale, mais, plus important encore, de la quête d’équité sociale et d’efficacité économique du gouvernement. dans le domaine du développement social, la réforme du système fiscal est un processus d'exploration et d'amélioration continue. il est nécessaire de constamment résumer les expériences et les leçons de la pratique et d'atteindre progressivement l'objectif d'un gouvernement fort et fondé sur un consensus.